Soignez vos titres : Ils vous le rendront bien !

comment choisir titres articles blog

Chaque jour, plus d’un million de nouveaux contenus sont publiés sur le web. Chaque jour, plus d’un million de personnes ayant écrit des contenus pour leur site web ne cherchent qu’une chose : être lus, à tout prix.

Pourtant, rien ne leur garantit qu’ils parviennent, par leurs contenus, à susciter l’intérêt ! Pour une majorité de ces contenus rédactionnels, une seule destinée : l’indifférence !

Pourtant, les réseaux sociaux, Twitter et Facebook en tête, constituent une véritable opportunité pour vous d’être lus, et donc d’augmenter le trafic vers votre site web ainsi que sa popularité, mais à une seule condition : savoir attirer, dans la multitude des contenus partagés, l’attention de l’internaute en quête de réponses et d’informations.

Vos titres sont ainsi déterminants dans votre réussite sur le web, car votre titre sera souvent le seul élément de votre rédactionnel véritablement visible pour les internautes.

Voici donc les 5 erreurs à éviter à tout prix pour des titres qui sachent vraiment faire mouche !

Ecrire des titres trop longs

Vos titres, comme vos URL d’ailleurs, doivent avoir une qualité essentielle : la concision !

D’abord, pour des questions de référencement et de visibilité dans les moteurs de recherche : Google limite à 70 le nombre de caractères dans un titre, espaces compris. Opter pour un titre long signifie qu’il n’apparaitra pas complètement dans les résultats de recherche, alors que la lisibilité y est un facteur essentiel.

De plus, un titre long, sur les réseaux sociaux, aura une double contre-productivité : il vous empêchera de personnaliser de manière efficace votre post (notamment sur Twitter ou encore Pinterest), d’autre part, il découragera vos lecteurs d’aller lire votre contenu en en donnant une image rébarbative.

Ecrire des titres trop techniques

A qui vous adressez-vous ? Pourquoi diffusez-vous votre expertise sur le web ? Je ne pense pas que ce soit pour convaincre vos concurrents, et donc ceux qui partagent le même vocabulaire que vous, que vous maitrisez votre sujet !

Au contraire, vous écrivez souvent pour un public qui n’est pas spécialiste de votre domaine, et qui, confronté à un problème lié à votre secteur d’activité, cherche des réponses via le web. N’oubliez jamais que le propre d’une réponse efficace est d’être compréhensible par tous et simple dans sa construction.

Votre titre, puisqu’il est d’une certaine manière la seule vision a priori de votre contenu, doit être simple et, d’un coup d’œil, donner une idée du contenu que vous avez publié.

Ecrire des titres que vous êtes le seul à comprendre

Vous avez un sens de l’humour exacerbé et un vrai sens du jeu de mot ? C’est une excellente qualité pour écrire des titres efficaces ! Mais êtes-vous le seul à vous comprendre vraiment ?

Un bon titre pour un contenu web n’est pas nécessairement le titre le plus original. C’est avant toute chose un titre qui parvient en six à huit mots à nous dire d’une part le sujet qui va être traité, et d’autre part à faire la promesse du bénéfice que l’internaute tirera de la consultation de votre contenu.

Et si, de plus, vous parvenez à faire preuve d’humour, à lui donner un ton décalé, vous aurez atteint votre objectif !

Mais avant toute autre considération, ne pensez qu’à une seule chose : exposez une vraie problématique et mettez-la en perspective par une promesse claire et alléchante. Résultat garanti pour un max de visites !

Ecrire toujours les mêmes titres !

C’est vrai, il y a des titres qui fonctionnent mieux que d’autres. Délivrer des astuces, des trucs indispensables, et autres formules du même style, interpelle et donne envie d’aller consulter le contenu que vous proposez. Et soyons francs, je suis le premier à adorer recourir à ce genre de subterfuges.

D’ailleurs, vous aurez constaté ma taquinerie, puisque ce post, est en définitive structuré de cette manière, malgré un titre qui ne le laisse pas penser !

Pourtant, certains sites ne produisent sur leur blog que des contenus rédactionnels ayant recours à ce type de titres. Admettez que, de là à penser qu’ils écrivent finalement toujours la même chose, il n’y a qu’un pas ! Si vous lassez, par votre répétitivité, votre lecteur, vous le perdrez, même si ce que vous écrivez apporte à vos visiteurs une véritable valeur ajoutée !

Oublier de mettre un titre !

Là, vous allez me dire que je me moque de vous, que ce n’est pas possible, que personne n’oublie de mettre un titre dans une publication ! Et pourtant si ! Vu et garanti ! Et surtout ce type d’erreur grossière est beaucoup plus courant que vous pourriez le penser…

En fait, on le retrouve très souvent sur des blogs hébergés sur des plateformes comme wordpress.com, blogspot, canalblog, etc… Des personnes qui n’ont aucune connaissance en blogging ou en rédaction web ouvrent un blog et commencent à publier. Sur ces plateformes, point de plugin SEO qui va bien, et qui va vous dire ce que vous avez oublié : ainsi, ces personnes soignent leur contenu, parfois même d’excellente qualité, mais oublient l’essentiel… Au final, ces blogs sont très rapidement abandonnés, faute de visiteurs…

Vous avez décidé, ou vous connaissez quelqu’un qui souhaite commencer un blog ? Prenez, ou conseillez-lui de prendre, le temps d’effectuer quelques recherches de base sur le web. Commencez simplement par aller consulter d’autres blogs, qui ont pignon sur rue dans le domaine que vous visez : s’ils marchent bien, c’est que vous pourrez largement vous inspirer de leurs pratiques pour démarrer votre propre blog !

Ainsi, votre titre est un élément essentiel de votre contenu, qu’il ne faut surtout pas négliger.

Et dans cet article, nous avons parlé uniquement du titre principal de votre contenu, la fameuse balise h1 ! Car un contenu doit lui aussi se structurer, de l’intérieur, pour pouvoir être facilement lisible par votre visiteur.

Quoi de mieux que des titres pour organiser et hiérarchiser votre pensée ? Mais c’est une autre histoire, celle de notre prochain post, où il sera question de structuration de contenu.

To be continued…

Si vous souhaitez discuter avec nous du contenu rédactionnel de votre site, n’hésitez pas à me contacter !


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Comments

  1. Bonjour,

    Je suis tout à fait d’accord ! Pour moi le titre est primordial. S’il n’est pas percutant, vous pouvez être sûr que personne n’ira plus loin.

    Merci encore, je partage votre article lundi sur @Access_Com

    Bonne journée et à bientôt.

    Caroline

  2. Bonjour,

    Je suis tout à fait d’accord ! Pour moi le titre est primordial. S’il n’est pas percutant, vous pouvez être sûr que personne n’ira plus loin.

    Merci encore, je partage votre article lundi sur @Access_Com

    Bonne journée et à bientôt.

    Caroline

  3. Je viens de lire vos 5 astuces présentées pdf et j’y ai pris un grand plaisir.
    Je suis un chat (siamois de surcroît) et rares sont les deux-pattes qui écrivent avec cette qualité.
    J’en suis à ma troisième vie, j’ai enseigné l’Histoire Morale de la Magie et pourtant, j’ai tout à découvrir en matière de storytelling et autres rédactions web, où concision et accroches sont de mise, si je veux intéresser les lecteurs deux-pattes à mon décalogue.
    Pour qui s’abonne sur mon Carnet de bord j’offre onze conseils pour écrire de la poésie (j’ai cédé à cette mode de numériser l’infini…) et il pourra, s’il le désire, recevoir en feuilleton mon Histoire Morale de la Magie.
    Quoi qu’il en soit, je vais me concentrer sur cette importance du titre… car j’ai encore beaucoup à apprendre.
    Belle continuation sur l’océan du web,
    Eschylle

  4. Je viens de lire vos 5 astuces présentées pdf et j’y ai pris un grand plaisir.
    Je suis un chat (siamois de surcroît) et rares sont les deux-pattes qui écrivent avec cette qualité.
    J’en suis à ma troisième vie, j’ai enseigné l’Histoire Morale de la Magie et pourtant, j’ai tout à découvrir en matière de storytelling et autres rédactions web, où concision et accroches sont de mise, si je veux intéresser les lecteurs deux-pattes à mon décalogue.
    Pour qui s’abonne sur mon Carnet de bord j’offre onze conseils pour écrire de la poésie (j’ai cédé à cette mode de numériser l’infini…) et il pourra, s’il le désire, recevoir en feuilleton mon Histoire Morale de la Magie.
    Quoi qu’il en soit, je vais me concentrer sur cette importance du titre… car j’ai encore beaucoup à apprendre.
    Belle continuation sur l’océan du web,
    Eschylle

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